Les mésaventures de Leclerc à Bahreïn
- Charles Leclerc a fait face à une série de défis lors du Grand Prix de Bahreïn.
- Des soucis persistants avec les freins ont entravé la performance du pilote de l'écurie Ferrari.
- Entre déception et espoir, Leclerc et son équipe envisagent la suite de la saison avec détermination.
Quel est le problème rencontré par Charles Leclerc lors du Grand Prix de Bahreïn en 2024 ?
Charles Leclerc a traversé une épreuve ardue lors du récent Grand Prix inaugural de la saison 2024 à Bahreïn.
Son défi majeur est survenu sous la forme d'un problème de température affectant les freins de sa Ferrari SF-24.
Le pilote monégasque a été contraint de composer avec une répartition de freins défaillante, entraînant un freinage excessif du côté gauche et un freinage insuffisant du côté droit.
L'absence de points marqués pour le championnat a laissé Leclerc profondément déçu, considérant cette course comme une opportunité manquée.
Comment s'est déroulée la course pour Leclerc ?
Les vingt premiers tours de la course ont été particulièrement difficiles pour Leclerc. Il a été incapable de maintenir sa position en deuxième place, étant dépassé par George Russell, Carlos Sainz et Sergio Pérez.
Malgré une amélioration de son rythme en fin de course, il n'a pas réussi à combler l'écart avec ses rivaux, pendant que Max Verstappen remportait la victoire sans difficulté.
Le pilote monégasque a décrit une expérience frustrante, marquée par des freins dont le comportement était imprévisible.
Nothing more was possible yesterday. P4.
Thank you so much for the support ❤️
Maranello next before heading to Miami 🇺🇸 pic.twitter.com/61sOUQs2Qt— Charles Leclerc (@Charles_Leclerc) April 22, 2024
Quelles sont les perspectives pour Leclerc et Ferrari après ce Grand Prix ?
Leclerc exprime sa frustration car il avait placé de grands espoirs sur cette course, considérée comme le talon d'Achille de la Ferrari lors de la saison précédente.
Il pense que Red Bull, malgré son avance confortable, est plus accessible cette année comparativement à la précédente. Le pilote monégasque était confiant avant le début de la course et avait hâte de démontrer son potentiel sans être entravé par des problèmes de freins.
Maintenant, il attend avec impatience le prochain Grand Prix à Djeddah. Malgré la déception, Frédéric Vasseur, le directeur d'équipe, met en avant les progrès réalisés par Ferrari et estime que cela constitue une base de travail plus solide pour l'année à venir.
Pour en savoir plus sur les détails de cette course et les réactions de Charles Leclerc, je vous invite à consulter l'article complet sur Auto Hebdo.