Une nouvelle Alpine de la gendarmerie détruite sur l'autoroute
1 mois ago · Updated 1 mois ago
C'est un triste sort qui semble s'acharner sur les voitures de sport de la Gendarmerie nationale ces derniers temps. Un troisième exemplaire de l'Alpine A110 vient de finir hors service, cette fois-ci sur une autoroute des Alpes-Maritimes.
Les incidents se multiplient pour l'Alpine A110 de la gendarmerie
Le bilan commence à être lourd pour les Alpine A110 de la gendarmerie. Sur les 26 exemplaires de cette voiture de sport française en service, plusieurs ont déjà été impliqués dans des accidents au cours de leur mission. L'année dernière, l'une d'elles s'était retrouvée sur le toit après un incident sur l'autoroute A4. Plus récemment, un deuxième modèle s'est encastré dans un rail de sécurité sur l'A36 lors d'une poursuite sous la pluie. Et voilà qu'un troisième exemplaire se retrouve au tapis, cette fois sur une voie rapide des Alpes-Maritimes.
La scène a même été capturée par un automobiliste de passage, qui n'a pas manqué de partager la vidéo sur Instagram. On y voit l'Alpine A110 dans un triste état, la partie avant complètement endommagée. Les accidents se succèdent, et l'on se demande combien de temps ces belles voitures bleues pourront encore servir à la gendarmerie avant de disparaître des routes.
L'essentiel : pas de blessés
Heureusement, dans ce nouvel incident, personne n'a été blessé, ce qui reste l'essentiel. Cependant, les conséquences matérielles pourraient être importantes. La structure en aluminium du châssis de l'Alpine pourrait avoir été atteinte, ce qui rend la réparation plus complexe, voire impossible. Comme pour l'accident précédent, les conditions météorologiques semblaient jouer un rôle, avec une chaussée mouillée qui a sans doute contribué à la perte de contrôle du véhicule.
Ces accidents répétés interrogent sur l'utilisation de voitures de sport comme l'Alpine A110 pour des missions sur autoroute. Certes, ces bolides sont efficaces pour des interventions rapides, mais les risques liés à la vitesse et aux conditions souvent imprévisibles de la route semblent de plus en plus prégnants. Peut-être faudrait-il envisager des formations spécifiques plus poussées pour les conducteurs ou réévaluer le type de véhicules utilisés pour ces missions particulières. En attendant, il reste à espérer que les gendarmes puissent continuer d'accomplir leurs missions sans que de tels incidents ne se reproduisent.
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