La première fissure d'Abarth à une trappe chaude électrique, la 500E, est un peu un sac mixte. C'est zippé, nippy et adhérent quand l'ambiance vous emmène, mais assez irritant à bien des façons et pas si chaude. Le plus grand Abarth 600E, alors, ne peut donc pas vraiment se permettre de souffrir du syndrome difficile de l'album.
C'est la version chaude du Fiat 600, une voiture qui est disponible à la fois sous forme électrique et à l'essence, mais dans l'Abarth, l'électricité est votre seule option. La configuration est familière à partir de quelques autres petits véhicules électriques chauds qui ont émergé de Stellantis au cours de la dernière année, à savoir l'Alfa Romeo Junior Veloce et le (indisponible au Royaume-Uni) Lancia Ypsilon HF.
Ils partagent tous la même plate-forme et la même batterie de 54 kWh qui alimente un moteur électrique sur l'essieu avant. Cela vous révèle une gamme de 207 milles citée, qui est un peu des ordures ces jours-ci – et vous vous retrouverez probablement à le conduire d'une manière qui vous permet de vous rendre beaucoup moins. Mais plus à ce sujet sous peu.
Le 600E est actuellement disponible en deux notes différentes. La voiture de base obtient 236 ch, tandis que le Scorpionissima – pour l'instant, une version de lancement en édition limitée, mais nous imaginons que quelque chose de similaire arrivera en tant que Topper de portée régulier – emballe 276 ch, le mettant à égalité avec la veloce junior. Les deux versions obtiennent 254 lb de couple.
Les deux ont beaucoup de choses qui devraient aussi faire piquer les oreilles de passionnés de conduite. Il y a des pneus de sport pilote Michelin spécifiques à EV et des freins Alcon avec de grands disques de 380 mm à l'avant et des callositeurs à quatre pistons à l'avant. La suspension et les barres anti-roulis ont été modifiées par l'aile de sport automobile de Stellantis, et il y a un diff de glissement limité mécanique sur le devant. Même la plupart des écoutilles chaudes à essence ces jours-ci essaient de s'en tirer avec une configuration électronique à verrouillage électronique, donc cela montre qu'il essaie au moins d'être sérieux.
C'est le Scorpionissima que nous conduisons. Vous ne serez pas intéressé par la technologie supplémentaire de l'assistance à la conduite ou la SAT-NAV standard, mais vous pourriez être dans la peinture violette hypnotique en option, et vous serez certainement dans les excellents sièges Sabelt Bucket.
Ils sont de loin les meilleures parties d'un intérieur qui peuvent autrement se sentir un peu sombres et sombres et présentent des matériaux bon marché et rugueux. Des rivaux comme le Mini Aceman JCW et Cupra Born VZ sont meilleurs dans ce département, bien que tout soit au moins présenté logiquement dans l'Abarth.
Vous obtenez trois modes de conduite, et les deux premiers – Turismo et Scorpion Street – ne faites pas beaucoup au-delà de la modification de la puissance à votre disposition et de votre vitesse de pointe.
Scorpion Track, cependant, vous donne le complément complet de 276 ch et 254 lb FT, permettant au 600E de frapper 0-62 mph en 5,9 secondes et une vitesse de pointe de 124 mph. Il fait le mode de sport habituel de pondérer la direction, d'afficher l'accélérateur et de desserrer l'emprise de l'ESP, mais cela élimine également complètement tout freinage régénératif, de sorte que les freins de friction font tout le travail et il n'y a pas de la pédale étrange que vous pouvez obtenir dans des eVS au fur et à mesure que la main se produit. Plus de bonne pensée.
Dans ce mode, le 600E est rapide mais pas vicieusement. Il y a la montée en puissance habituelle de l'énergie électrique qui peut très rapidement vous mettre à jour et vous permettre d'exécuter des dépassements sans stress, mais il n'y a rien qui va vous faire mal au visage.
Ce n'est pas le but d'une trappe chaude, surtout pas celle-ci. Heureusement, Abarth semble avoir appris de la manière légèrement sans joie que la 500e va parfois à ses activités, car son grand frère est une bonne humeur.
Quel que soit le mode dans lequel vous vous trouvez, la direction a un poids assez charnu qui peut sembler un peu étrange lorsque vous êtes juste en train de poter. Conduisez-le comme Abarth le veut, cependant, et c'est serré et direct. N'ayant pas de régénération interférant avec les freins est également un régal, avec une pédale ferme et non corrompue vous permettant de pousser les freins qui mordent fort.
La vraie pièce de fête est ce Diff, cependant. Vous pouvez monter sur la puissance ridiculement tôt dans les virages, et cela tire l'affaire qu'un LSD vraiment bien calibré sur une voiture avant fait toujours: au lieu de s'accumuler dans un sous-virage hurlant, il se connecte et il y a un sens du nez tiré dans le coin au lieu de pousser largement. C'est correctement addictif, et sur la piste de kart, nous l'avons essayé dans le cadre du lecteur, vous pouvez pousser le 600E pour armer excitablement une roue comme une vieille Clio 182.
Le compromis pour ce type d'ingénierie de la magie noire dans les voitures dirigés par le nez a traditionnellement été un frontal légèrement occupé pendant la conduite normale, mais bien qu'il y ait le peu de transmission occasionnelle dans le 600E, il est bien géré.
En fait, en dépit d'être une chose aussi agressive, le 600E ne souffre pas beaucoup en tant que quotidien. Abarth a évité de rendre tout si raide qu'il se brise les dents chaque fois que vous passez sur un joint d'expansion. Il semble impressionnant et composé, mais vous le conduisez. Ce n'est pas la chose la plus raffinée, l'esprit – rien d'involable, mais vous obtenez une bonne quantité de bruit de pneu et de route.
Ah oui, bruit. Lorsque l'Abarth 500E a été lancé, beaucoup d'attention – rien de tout cela, a été particulièrement positive – a été attirée par le «générateur de son» qui a tenté de reproduire le raudeur rauque de l'ancien Abarth 500 à essence.
C'est de retour dans le 600E, mais il y a de bonnes nouvelles. Il est beaucoup moins odieusement bruyant à la fois à l'intérieur et à l'extérieur de la voiture, à la queue comme un moteur lorsque vous soulevez l'accélérateur plutôt que de simplement jouer le même ton plat, et a un bruit généralement plus profond et plus sérieux. Plus important encore, il est beaucoup plus facile de s'éteindre lorsque sa nouveauté s'use inévitablement après environ cinq minutes.
À 39 875 € pour le Scorpionissima et 36 975 € pour la voiture de base, le 600E n'est pas tout à fait le genre de voiture de performance bon marché et joyeuse une fois offerte par Abarth, mais vous payez toujours moins que pour une JCW VZ ou Aceman née. Ces voitures pourraient être des compagnons quotidiens plus adultes qui vous font plus loin, mais une trappe chaude ne consiste pas vraiment à être adulte.
Non, les meilleures écoutilles chaudes sont brillantes, impétueuses, légèrement fragiles par endroits et, surtout, mettez un grand sourire stupide sur votre visage. Toutes ces boîtes sont très cochées par le 600E.
