10 des voitures de course les plus étranges jamais fabriquées

Le sport automobile est souvent plein d'idées prêtes à l'emploi. Que ce soit les fabricants à la recherche de succès pour commercialiser leurs voitures de route, ou un banc d'essai pour la technologie de pointe pour finalement se diriger vers les masses, il n'y a pas de pénurie de concepts uniques et brillants à provenir du sport automobile.

Parfois, cependant, les choses deviennent tout à fait bizarres. Comme dans le cas de ces 10 voitures de course étranges que nous avons choisies.

Toyota Prius GT300

Une Toyota Prius en compétition dans la première série de voitures de sport au Japon suffit déjà une pensée folle, bien que tout à fait appropriée en quelque sorte. Les choses deviennent encore plus étranges lorsque vous horlogez que ce n'est cependant pas une Prius hybride avant, comme les voitures de route.

Plusieurs itérations de la Toyota Prius ont participé à la classe GT300 de deuxième niveau de Super GT au fil des ans, chacune avec un moteur V8 à mi-montée. Oui, vraiment.

Les premières versions ont utilisé un V8 de 3,4 litres dérivé du programme WEC LMP1 de Toyota, bien que 2019 verrait cela échangé contre une bosse de 5,4 litres de la voiture de course Lexus RC F GT3.

Nissan GT-R LM NISMO

Seuls deux fabricants se sont rendus à la classe supérieure de Le Mans avec une voiture à moteur avant dans ce millénaire. Le premier est Panoz, une marque américaine peu connue qui avait une fissure avec trois voitures à moteur avant à l'ère LMP1, et l'autre… Nissan.

Cela avait du sens du point de vue du marketing – après tout, la marque GT-R n'a jamais été déployée que sur des voitures de route à moteur avant, alors pourquoi ne refléteriez-vous pas cela sur votre voiture de course Halo?

Seul le GT-R LM NISMO était également axé sur le front, ce que les voitures de route n'étaient pas célèbres. L'intention avait été de le faire en traction intégrale par les moyens d'un essieu arrière électrique, bien que cela ne se soit jamais concrétisé avec la puissance du LM qui venait à travers les roues avant gracieuseté de 3,0 litres V6.

Ce fut une catastrophe prévisible, les trois voitures en compétition aux 24 heures du Mans 2015, plus de 20 secondes de la Porsche 919, leaders de la classe. Deux voitures ont pris leur retraite, tandis que le troisième a atteint la fin, mais n'a pas été classé car il n'a pas réussi à compléter 70% de la distance de la voiture gagnante. Pas de surprise, elle n'a jamais participé à un autre événement.

Peugeot 806 Procar

«La course dimanche, vend le lundi» était un mantra que de nombreux constructeurs automobiles semblaient vivre au 20e siècle. Le plus souvent, cependant, qui s'appliquait aux salons familiaux dans les courses de voitures en tournée et les voitures GT dans ERR, GT Racing.

Aux 1995 24 heures de spa, cependant, Peugeot a pensé à l'extérieur de la boîte avec… une boîte complète. Il a basculé avec une mini-fourgonnette 806.

Il a pris le moteur d'une voiture de rallye 306 Maxi, bon pour 280 ch et la suspension d'une voiture 405 Super Touring. Il était également étonnamment compétitif, se qualifiant 12e et montrant un bon rythme avant de prendre sa retraite avec des problèmes de moteur à la 10e heure. Il n'y a aucun doute qu'il ait gagné des cœurs non plus.

Tyrrell P34

Il semble que le carburant en plomb ait eu un effet sur l'esprit des ingénieurs F1 dans les années 70. 1978 a vu l'introduction du bonkers Brabham BT46 Fancar, qui aurait fait cette liste sans quelque chose d'un peu plus fou quelques années auparavant.

Nous parlons bien sûr du Tyrrell P34, une voiture à six roues a été introduite et a couru dans les saisons F1 de 1976 et 1977. La théorie était que le fait d'avoir deux roues avant plus petites au lieu d'une plus grande offrirait un avantage aérodynamique ainsi qu'un patch de contact pour l'adhérence avant.

Il s'est également avéré avoir un certain succès dans le sport, remportant également une victoire au Grand Prix suédois de 1976 avec Jody Scheckter à la barre et un total de 14 podiums en 30 courses. Sa deuxième saison a vu beaucoup de retraite, et finalement, Tyrrell a abandonné le concept avant que les réglementations ne soient modifiées pour stipuler une voiture doit avoir quatre roues.

Tatra 603

Le Tatra 603 a été conçu comme un grand luxobarge pour que les responsables de la Tchécoslovaquie socialiste soient transportés. Comme la réponse du bloc oriental à une Mercedes ou à Rolls-Royce.

Le sport automobile ne ressemblerait pas à sa maison naturelle, mais la voiture construite par la tchèque a réussi à trouver un succès assez substantiel dans le rallye et la course sur route. Sur 79 événements entrés entre 1957 et 1967, il faudrait 60 victoires (accordées, beaucoup de personnes en compétitions nationales). Sa réalisation hors concours a été une victoire de classe à la route Marathon de la 1966.

Garage NASCAR 56 Chevrolet Camaro ZL1

Bruits d'aigle bruyants.

OK, nous supposerons que vous saviez que celui-ci existait parce que franchement, qui ne le fait pas? Aux 2023 24 heures du Mans, le créneau expérimental du garage 56 a été rempli par une Chevrolet Camaro ZL1 NASCAR, adaptée de la course ovale pour rivaliser dans le summum de la course d'endurance.

Il n'a pas participé à une classe spécifique, donc ce n'était vraiment que la course, mais il a réussi à surmonter chaque voiture GTE et même une entrée LMP2.

Il terminerait la course à la 39e place et aurait probablement été plus élevé sans certains problèmes de transmission tardive. Est-ce que cela reviendra jamais? Nous l'espérons.

Deltawing

En parlant de garage 56, cet endroit serait repris par le Deltawing dans l'itération de 2012 du Mans.

Conçu à l'origine comme une proposition pour un nouveau châssis IndyCar, il est juste de dire que c'était bizarre. Le design de type Dart (nous vous laisserons faire vos propres comparaisons plus enfantines) est née de faire quelque chose de petit, léger et aérodynamiquement efficace.

Quand IndyCar a décidé d'aller avec un châssis Dallara plus conventionnel, le projet Deltawing a plutôt décidé que Le Mans serait un endroit pour présenter son potentiel avec le soutien de Panoz (oui, c'était un peu une marque étrange).

Il participerait aux 24 heures du Mans 2012 avec le soutien de Nissan, retirant 75 tours après une grande collision avec une voiture Toyota TS030 LMP1.

Bien que cela s'avérerait sa seule sortie lors de la course d'endurance, il a participé à la série américaine Le Mans en 2013 et finalement au Championnat de Sportscar United sous un apparence spectaculaire.

Rolls-Royce Corniche

Rolls-Royce n'est pas exactement une marque incontournable pour baser une voiture concurrente de Paris-Dakar. À tel point que Rolls lui-même a essayé d'arrêter les Français Thierry de Montcorgé et Jean-Christophe Pelletier de transformer la corniche de Montcorge en une voiture pour participer au rallye.

De toutes les sociétés, cependant, ce serait le design House Christian Dior qui a convaincu Rolls de se mettre à bord car il devait parrainer l'effort.

Ainsi, au Paris-Dakar de 1981, le corps d'une corniche Rolls-Royce dirigeant un moteur V8 Chevrolet et le système à traction intégrale d'un Toyota Land Cruiser HJ45 prendrait la ligne de départ. La voiture terminerait le rallye, mais n'était pas officiellement classé à la suite d'une réparation illégale de son système de direction.

Volvo 850 Estate BTCC

BTCC a sans aucun doute culminé dans les années 90 au cours de son époque super tournée. La course était incroyable, la liste des conducteurs a été étoilée et à peu près tous les constructeurs automobiles vendant des voitures de salon au Royaume-Uni représentées sous une forme ou une autre.

Volvo a décidé de s'appuyer sur sa réputation pour les voitures de famille boxy avec un domaine 850 préapporté à la course. Au cours de la saison 1994, il ne se défierait pas pour les victoires mais n'était pas trop loin du rythme – son meilleur résultat une cinquième place à Brands Hatch. Les changements de réglementation pour 1995 ont conduit Volvo à passer au salon 850 dans le but d'être plus compétitif.

Chaparral 2J

Ah, oui, «cette voiture de Gran Turismo 4». C'est du moins comme ça que la plupart d'entre nous se souviennent probablement du chaparral 2J.

La voiture de course Cankers Can-Am a été l'un des premiers exemples de l'aérodynamique des effets du sol, en utilisant deux fans gigantesques tirés d'un moteur de réservoir militaire (sérieusement) et un plinthe de Lexan scellé avec l'intention de créer un vide sous la voiture.

Cela a fonctionné, en quelque sorte. Le 2J a été sérieusement rapide tout au long de 1970 – dépassant souvent le reste de la grille de deux secondes lors d'un événement – mais s'est révélé incroyablement peu fiable. Pas de surprise, les organisateurs de Can-Am SCCA ont interdit le 2J pour 1971.